HAIRSTETICS™ est le premier système d’implantation capillaire minimal-invasif qui allie le savoir- faire scientifique et l’innovation créative. L’ambition de HAIRSTETICS™ est de repousser les limites, d’une industrie qui n’a pas évolué, de renouveler et de moderniser les procédures existantes pour garantir aux médecins une prise en charge simplifié, plus sûre et efficace  et aux patients un résultat immédiat, naturel et durable.

Un secteur porteur

  • Un million de personnes sont traitées chaque année par un spécialiste pour la perte de cheveux. Seulement 565 318 de ces patients ont subi une greffe de cheveux. Et seulement 14,3 % sont des femmes.
  • L’Europe, l’Afrique/Moyen-Orient et l’Amérique centrale et du Sud sont les marchés en plein essor avec une croissance correspondante en 2016 par rapport à 2014 de respectivement 70%, 163% et 132%1.
  • HAIRSTETICS™ offre une solution à tous ceux qui souffrent d’alopécie androgénétique dont le marché est estimé à 7,3 milliards de dollars2 en 2016. Et particulièrement aux femmes, dont 80 % ont 60 ans et ne sont pas admissibles à une greffe chirurgicale.
  • Le marché du traitement chirurgical de la perte de cheveux est estimé à 4,1 milliards de dollars et a augmenté de 64 % depuis 20141.
  • Au cours des deux dernières décennies, la chirurgie mini-invasive a connu un taux de croissance annuel de plus de 15 %, soit trois fois l’augmentation des interventions chirurgicales3.
  • HAIRSTETICS™ se positionne sur ce marché en pleine croissance des traitements esthétiques médicaux minimal-invasifs et répond aux attentes et tendances du marché : des traitements esthétiques minimal – invasifs et sûrs, des résultats naturels et immédiats, une beauté instantanée et des offres très personnalisées, sans éviction sociale, sans temps d’arrêt avec des résultats réversibles.

Les traitements et produits existants : leurs limites

Les solutions existantes pour traiter la perte de cheveux, qu’elles soient chirurgicales ou non, présentent de nombreux inconvénients et donnent souvent des résultats insatisfaisants. Malgré les traitements médicaux actuels, la chirurgie reste la seule méthode de traitement définitive utilisant des cheveux naturels (transplantation). Elle a néanmoins ses limites. Elle ne convient pas à tous les cas d’alopécie et le post opératoire est complexe : cicatrices dans la zone donneuse, folliculite, engourdissement neurologique (hypoesthésie), changements dans la structure de la peau, périodes prolongées de régénération avec un pot opératoire suivi, d’œdème, gonflement du front ou des paupières et un taux élevé de perte lors de la pousse des cheveux greffés. De plus, l’intervention est relativement longue (jusqu’à 12 heures) et souvent douloureuse.

Les deux seules marques d’implants capillaires artificiels aujourd’hui sur le marché sont NIDO (Japon) et BIOFIBRE (Italie). Leurs deux technologies sont dépassées et présentent plusieurs inconvénients. Bien qu’il n’y ait pas de cicatrices, la procédure est encore longue – une seule fibre capillaire est implantée à la fois et elle cause de nombreuses complications, telles que : implantation hétérogène, saignement, taux élevé de chute de cheveux et dépôt d’une quantité importante de corps étrangers sous la peau, traumatisme cutané dû à la conception du dispositif d’implantation, en effet les fibres capillaires sont placées à l’extérieur de l’aiguille et la même cartouche d’implantation est utilisée pendant toute la durée du traitement.

L’étude clinique a démontré l’avantage concurrentiel décisif de la méthode HAIRSTETICS™ comme étant la moins douloureuse, la plus confortable, reproductible et réversible avec un temps d’arrêt minimal. La procédure d’implantation HAIRSTETICS™ est moins traumatisante et beaucoup plus courte que celle de la concurrence car plusieurs implants capillaires sont placés simultanément. Un autre bénéfice majeur relevé dans l’étude, celui de la sécurité de la procédure HAIRSTETICS™, du fait de sa nature peu invasive et de la biocompatibilité de ses matériaux. Contrairement aux implants synthétiques concurrents, l’implant capillaire HAIRSTETICS est entièrement inséré dans les aiguilles de la cartouche, ce qui réduit considérablement le risque de traumatisme cutané ainsi que les dépôts de corps étrangers sous la peau.

Les femmes, une demande inexplorée

Aujourd’hui les femmes n’ont pas de solution réellement satisfaisante et, très souvent, elles ne sont pas de bonnes candidates pour les greffe de cheveux. Plus de 55 % de femmes vivent avec de graves problèmes de perte de cheveux, l’alopécie est un problème majeur qui peut mener à la dépression, à une faible estime de soi et à la stigmatisation sociale1. La perte de cheveux est souvent décrite comme incurable et les options thérapeutiques actuelles (régime alimentaire, remèdes maison, médicaments…), donnent des résultats insatisfaisants. Pour les femmes, le traitement « invasif » notamment la greffe capillaire est le dernier choix et seulement 14,3% d’entre elles ont pu obtenir ce traitement en raison de leur indication.

HAIRSTETICS™ répond aux besoins des femmes. Avec l’âge leurs cheveux s’affinent. Leur alopécie est diffuse bien différente de celle des hommes. Les femmes n’ont pas de calvitie, mais elles ont des zones donneuses pauvres. Parallèlement, elles attendent des résultats, de l’efficacité et des produits haut de

gamme. En raison de ces particularités, ce sont des patients exigeants.

… et un impact psychologique plus profond

L’alopécie est un problème à la fois esthétique et psychologique. La perte de cheveux a un effet psychologique dévastateur, surtout chez les femmes: elle touche à l’image de soi, au bien-être émotionnel. Quelle qu’en soit la cause, l’alopécie, n’est pas une préoccupation purement esthétique, elle a un impact négatif sur la qualité de vie et le bien-être. Les patients atteints d’alopécie peuvent souffrir d’une perte de confiance en soi, d’une faible estime de soi et d’une altération de la perception de soi. L’impact de l’alopécie sur la qualité de vie des femmes est encore plus important que chez les hommes. Dans 88% des cas rapportés, la chute des cheveux a un impact négatif sur la vie quotidienne des patientes. Dans environ 75 % des cas, les problèmes capillaires se manifestaient par une mauvaise estime de soi et environ 50 % ont des problèmes sociaux. Dans cette étude, près d’un tiers des femmes ont signalé un inadaptation psychosociale générale liée à la perte de cheveux.

D’autres sources attestent des conséquences psychologiques négatives de l’alopécie tels que la dépression, l’anxiété, le stress, etc.

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